L’objet de communication éco-conçu

CGO2319

Bouteille AQUA

CitizenGreen - Objets de communication

Nous trouvons que cette bouteille est élégante et permet un remplissage 2 fois par jour si vous vous êtes fixé de boire un litre par jour !

🙂 C’est peut-être un détail pour vous, mais le bouchon est en plastique biosourcé

🙁 Le verre, c’est fragile !

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Description

. Bouteille 500ml
. Bouchon en plastique biosourcé
. Fabrication Européenne

Matière : Verre recyclé
Conditionnement : Sous étui en carton

Informations complémentaires

Poids 0,36 kg
Dimensions 6 × 22 cm
Couleurs

Transparent

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LE POLYESTER RECYCLÉ

LE POLYESTER EST UNE DES FIBRES SYNTHÉTIQUES LES PLUS UTILISÉES DANS L’INDUSTRIE POUR SON FAIBLE COÛT DE FABRICATION. 

Quel risque environnemental avec le polyester conventionnel ?
Lors de sa fabrication, il nécessite l’usage de pétrole, une ressource non renouvelable à l’échelle humaine, et polluante. Le pétrole brut est raffiné, il passe par plusieurs étapes et réactions chimiques pour produire le polyester qui est lui-même transformé en granules et/ou en fils de polyester après plusieurs traitements. Le polyester lors de sa teinture nécessite l’usage de véhiculeurs, produits qui accélèrent la vitesse de diffusion d’un colorant dans les fibres textiles. En général ces véhiculeurs sont des produits toxiques pour l’environnement ; certaines de leurs particules peuvent être rejetées dans l’environnement par les eaux usées et ainsi contaminer les milieux aquatiques.

Le polyester recyclé : une réponse efficace
L’avantage de cette fibre c’est qu’elle est facilement recyclable. Les tissus en polyester pourront être recyclés de nombreuses fois sans perdre en qualité ! De plus, le polyester recyclé produit par voie chimique ne comporte pas de métaux lourds, contrairement à son homologue fait avec du pétrole fraîchement extrait. Le recyclage du polyester réduit jusqu’à 80% de l’utilisation d’énergie et environ 70% des émissions de gaz carbonique en comparaison avec une fibre « neuve ».

LE VERRE RECYCLÉ

LE VERRE, UN MATÉRIAU 100% RECYCLABLE À L’INFINI. 

Le verre est un mélange de silice, de chaux et de soude.
Un Français consomme en moyenne 50 kg d’emballages en verre chaque année, et ce matériau représente 12% du poids de nos déchets ménagers.

Le verre se recycle à 100% et à l’infini.
Le taux de recyclage du verre en France est de 79,9%. A l’issue du processus de recyclage, le verre peut être réutilisé pour la fabrication de nouveaux flacons ce qui est le cas de tous nos modèles en verre. Comparé à l’utilisation de matières premières pour fabriquer du verre neuf, le recyclage du verre permet donc d’économiser de l’énergie, des ressources et de créer moins de pollution. Pour chaque 10 % de verre recyclé utilisé dans le processus de fabrication, les coûts énergétiques diminuent d’environ 2 à 3 %.

Les Français, entre adeptes du recyclage et citoyens qu’il faut encore convaincre.

La France fait partie des pays champions en termes de recyclage du verre, puisque 76 % des Français vont déposer leurs emballages en verre aux bennes destinées à cet effet. Cela place le pays sur la 3e marche du podium en Europe, avec environ 30 kilos de verre recyclé par habitant et par an. La progression est notable (au milieu des années 90, seuls 40 % des emballages en verre étaient recyclés) et a été encouragée par de nombreuses initiatives. 

LE BAMBOU

SURNOMMÉE L’ACIER VERT, LE BAMBOU EST CETTE HERBE GÉANTE QUI A TOUT POUR CONCURRENCER LE BOIS : DENSE, SOUPLE ET RÉSISTANTE. 

Sa tige est sciée dans le sens de la longueur. L’écorce verte est enlevée. Les lamelles sont traitées, séchées, puis assemblées sous haute pression. Pour obtenir un matériau “densifié”, résistant aux impacts extérieurs, on utilise des fibres de bambou fortement comprimées. Côté couleur, le bambou tire sur le jaune clair ou le crème. Pour obtenir un coloris caramel, les lamelles sont étuvées à 300 °C.

SES ATOUTS :
– Il limite la déforestation : sa croissance est ultrarapide (1m par jour).
– Il peut fixer beaucoup plus de CO2 que les arbres feuillus, jusqu’à 12 tonnes de CO2 par hectare et par an, comparé à 3 tonnes pour un hectare de feuillus. Il libère donc bien plus d’oxygène que les arbres.
– L’étroitesse de ses feuilles améliore l’infiltration de l’eau dans le sol
– Il limite l’érosion des sols, grâce à son réseau racinaire très dense sur 60 cm de profondeur, et restaure des sols appauvris.
– Imputrescible, il résiste aux variations d’humidité et de chaleur. Le bambou contient de la silice, ce qui le rend plus dur que le chêne.
– Son prix est moins élevé que celui du bois.

LES BIOCOMPOSITES

CITIZEN GREEN UTILISE DE PLUS EN PLUS DE MATÉRIAUX COMPOSITES À MATRICE ORGANIQUE.

Légers, multi-fonctionnels, et présentant un potentiel important pour limiter l’empreinte environnementale, ils occupent une place majeure parmi les matériaux du futur.

Leur particularité ?
Issus de ressources végétales, ils contiennent au moins 45% en volume de fibres naturelles associées à des matrices polymères elles-mêmes bio-sourcées tout en étant fabriqués à hautes cadences. Cependant sachez que la problématique du recyclage des composites n’occupe pas encore la place qu’elle devrait avoir, donc devant la montée en puissance de ces bio-composites, les équipes de recherche s’investissent de plus en plus dans cette voie de développement.

Dans le secteur des bio-composites, véritable vecteur de développement durable et d’industries d’avenir, la recherche des ressources écologiques permet de remplacer en partie les fibres synthétiques très polluantes à long terme. Outre leur impact moindre sur la planète, ces matériaux offrent un véritable concentré de performances. Ils s’utilisent en petites quantités et permettent de fabriquer des objets plus légers. En tant que composites, ils sont formés par une matrice (résine) et un renfort de fibres naturelles issues de plantes ou de cellulose (fibres de bois, de chanvre, de blé ou de tout déchet organique) mais ne sont pas toujours facilement recyclables.
Donc point fort : moins de ressources fossiles nécessaires et point faible : besoin d’une meilleure organisation des filières de recyclage en France.

Le bois

Contrairement aux énergies fossiles
dont les réserves sont épuisables,
le bois est une matière première,

Renouvelable : un arbre se régénère en moins de 100 ans contre des milliers d’années pour le pétrole.
Certifiée : le bois fait l’objet d’une traçabilité tout au long de sa « carrière ». Les labels PEFC et FSC permettent d’identifier les forêts gérées durablement.
Faible impact : son faible poids permet d’optimiser l’énergie consommée pour sa transformation, son transport et sa mise en œuvre.
Recyclable : sans dommage pour l’environnement, les déchets des scieries peuvent être revalorisés ou recyclés.
Carbonivore : c’est le seul matériau dont toute utilisation permet de lutter contre le gaz à effet de serre (L’ADEME estime que 4 m3 de bois énergie permettent l’économie d’environ 1 tonne de pétrole et 2,5 tonnes de CO2 de rejets dans l’atmosphère évités).

LE COTON BIOLOGIQUE

QU’EST CE QUI CARACTÉRISE LE COTON BIOLOGIQUE ? À QUOI S’ENGAGE T-ON EN LE PRÉFÉRANT AU COTON CLASSIQUE ?

– C’est favoriser la biodiversité et la rotation des cultures pour que la terre s’oxygène naturellement,
– C’est aussi respecter les saisons et consommer l’eau modérément,
– Et c’est enfin proposer une diminution des engrais chimiques au profit du compost naturel.

La qualité du coton bio est meilleure, la fibre plus épaisse, plus douce et anallergique. Son rendement légèrement inférieur fait que son tarif est légèrement plus élevé. Mais avec un travail dans le temps auprès d’agriculteurs engagés, nous nous rapprochons des rendements proches de l’agriculture conventionnelle.

Citizen Green® a choisi cette matière naturelle, car elle est rapidement renouvelable et biodégradable. Le coton biologique est une solution aux problèmes liés à l’emploi des pesticides et à la surconsommation d’eau car il en utilise beaucoup moins. Il permet aussi d’assurer des conditions de vie plus justes aux populations des pays producteurs.

LE COTON CONVENTIONNEL

LE COTON EST AUJOURD’HUI L’UNE DES FIBRES LES PLUS DEMANDÉES SUR LE MARCHÉ. 

Aspect environnemental
À l’échelle mondiale, la culture du coton est considérée comme l’une des plus polluantes du monde. Selon l’OMS, elle drainerait environ 10 % des pesticides utilisés, alors qu’elle ne mobilise que 3 % des terres cultivées. Elle est également une énorme consommatrice d’eau et une puissante émettrice de gaz carbonique.

Effet sur la santé des cultivateurs
Les effets de l’épandage de pesticides sur les champs, ont été dénoncés par l’OMS, qui cite le chiffre de 22.000 morts par an pour la culture du coton.

Effet sur la santé des consommateurs
Il vient des colorants chimiques utilisés pour la teinture, qui contiennent des métaux lourds comme le plomb et le chrome, ou des produits parfois allergisants.

LE JUTE

UNE MATIÈRE À PRIVILÉGIER CAR SES QUALITÉS ENVIRONNEMENTALES SONT IRRÉPROCHABLES.

– Amélioration de la qualité de l’air
Un hectare de culture du jute peut absorber jusqu’à 15 tonnes de dioxyde de carbone et libérer 11 tonnes d’oxygène au cours de la croissance du jute (environ 100 jours).

– Réduction de la pollution
La toile de jute est la meilleure alternative pour prévenir l’utilisation de matériaux toxiques.

– Plus de terres disponibles pour la production alimentaire
Le jute exige moins de superficie pour croître. Un hectare de terrain peut produire bien plus de fibres de jute qu’un hectare de culture de coton. Cette économie de surface permet d’utiliser la superficie disponible à d’autres fin agricoles et réduire, de ce fait, l’inflation alimentaire.

– Réduction des engrais, herbicides…
La culture du jute exige également moins d’engrais, de fertilisants, d’herbicides et de pesticides que le coton.

– Amélioration des zones rurales
Le jute est principalement cultivé dans les zones rurales de l’Inde et du Bangladesh. L’implantation des industries de toile de jute contribue au développement et création d’emploi de ces régions rurales, évitant la migration vers les zones urbaines déjà fortement surpeuplées.

– Amélioration de la condition, fertilité et texture du sol
Lorsqu’on récolte le jute, les restes et déchets de la plante (feuilles, les racines…) se mélangent avec la terre et se transforment en engrais pour les cultures suivantes. Il contribue également à l’amélioration de la texture et fertilité du sol.

LE COTON RECYCLÉ

LE RECYCLAGE DU COTON EST UN ENJEU MAJEUR POUR L’AVENIR.

Les inconvénients du coton recyclé
Le recyclage du coton est réalisé via des procédés mécaniques complexes qui consomment de l’énergie. Le coton recyclé n’a donc pas un impact neutre sur l’environnement même s’il reste meilleur que le coton standard.

Les avantages du coton recyclé
Le coton recyclé nécessite de l’énergie mais il a tout de même une dépense énergétique beaucoup plus faible que le coton standard. Il nécessite également très peu d’eau et ne consomme aucun pesticide (contrairement au coton conventionnel qui utilise ¼ des insecticides dans le monde). L’utilisation de coton recyclé limite l’impact des deux étapes principales de la culture du coton et la teinture, basée sur une sélection appropriée des matières premières obtenues à partir de déchets textiles, avec seulement une légère augmentation des coûts énergétiques lors du processus de coupe/broyage par rapport à ceux de l’égrenage.

De plus le recyclage des déchets de coton industriels offre une seconde vie au produit, réduisant ainsi les effets annexes et le coût de l’élimination et/ou l’incinération. Reste à évaluer l’impact de la fibre de coton recyclé sur l’environnement, nous n’avons pas encore de chiffres.

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